Statistiques d'usage
Les données retenues ici témoignent de l'utilisation des applications par les usagers, de leur engagement auprès du service et de leur évaluation du produit par questionnaire.
Statistiques* d'utilisation des interfaces :
-
Période du 01 janvier au 31 décembre 2022.
6715
visites uniques.
3054
visites uniques.
122
estimations effectuées
⚠️ à partir du 28 septembre 2022.283
visites uniques.
Le mémo le plus lu est celui de l'impôt sur le revenu avec 93 visites. Celui de l'AAH le talonne avec 76 visites. Le mémo de la PEPA a été visité 28 fois. Le temps moyen passé sur la page est de 50 secondes.
Évaluation du simulateur des cotisations et prestations sociales
par les utilisateurs :
-
3,3/5
Satisfaction moyenne des utilisateurs
du simulateur des cotisations
et prestations socialesMéthodologie
Entre septembre et octobre 2022, durant l'étude des projet de loi du Gouvernement (PLF et PLFSS), LexImpact a réalisé une dizaine de démonstrations auprès de l'ensemble des groupes politiques de l'Assemblée nationale.
À l'issue de la présentation du nouveau simulateur, un questionnaire d'évaluation était distribué. Il était demandé aux utilisateurs de positionner un curseur entre deux adjectifs opposés : 1 étant le curseur le plus proche d'un adjectif positif ; 6 étant celui le plus proche de l'adjectif négatif. Les adjectifs proposés permettaient de donner un avis sur différents critères (ergonomie, fonctionnalité, adéquation aux besoins, attractivité,...).
Les retours d'expérience présentés ici proviennent de l'analyse des réponses retournées par les participants. Toutes les personnes ayant assisté aux démonstrations n'ont pas répondu au questionnaire. Par ailleurs, l'interface actuelle du simulateur LexImpact a évolué depuis, en grande partie sur la base des retours reccueillis.Informations clés de l'évaluation :
- 19 utilisateurs ont complété la grille de questionnaire ;
- 3/19 utilisateurs de la commission des affaires sociales ;
- 2/19 utilisateurs de la commission des finances;
- 4/19 utilisateurs de la commission économique ;
- 8/19 d'autres commissions.
- L'amélioration en continue de l'interface s'est poursuivie entre les différentes démonstrations. Les utilisateurs n'ont donc pas évalué exactement la même interface.
Parmi les différents retours, certains sont largement partagés :
💬 Un produit nouveau, original et intéressant,
que l'on recommande à un collègue.À la question "recommanderiez-vous le simulateur à un collègue (1) ou pas du tout (6) ?", la moyenne des utilisateurs a donné 1,45 et treize utilisateurs sur dix-neuf ont donné 1.
💬 L'appropiation du simulateur est jugée légèrement compliquée.
À la question "trouvez-vous l'appropriation du produit simple (1) ou compliquée (6) ?", la moyenne des utilisateurs a donné 2,3 et 2 utilisateurs /19 ont donné 5 ou 6.
D'autres tendances sont aussi visibles :
💬 Le produit est plutôt agréable, clair, stimulant, fiable, rapide et attractif. Les utilisateurs considèrent qu'il apporte plutôt de la valeur.
💬 Le produit ne répond pas complètement à leur attente. L'application est également parfois considérée comme surchargée.
LexImpact, employé dans le débat public :
Les calculs du simulateur de l'Impôt sur le revenu ont été repris en commission au débat de loi de finances pour 2021 comme en témoignent, par exemple, ces échanges en séance du lundi 12 octobre 2020.
M. Jean-Noël Barrot :
« Nous éprouvons de la sympathie pour les amendements de ce genre, même si nous n'avons pas souhaité en déposer en séance publique. Pour la clarté des débats, je tiens à signaler que le simulateur LexImpact, dont nous disposons désormais, permet d'évaluer précisément le coût pour les finances publiques de l'amendement de Mme Pires Beaune, qui s'établit à 800 millions d'euros. (Exclamations sur les bancs du groupe SOC.) »
Mme Christine Pires Beaune :
« Ce sont 800 millions d'euros qui sont payés par les Français ! »
M. le président :
« La parole est à Mme Véronique Louwagie. »
Mme Véronique Louwagie :
« Notre collègue vient de développer un argument en faveur de cet amendement (« Eh oui ! » sur les bancs du groupe SOC), en exprimant clairement qu'au titre de l'article 2, ce sont 800 millions d'euros supplémentaires qui vont être prélevés sur les revenus des Français ! »
Mme Valérie Rabault :
« Exactement ! »
M. Laurent Saint-Martin, rapporteur général :
« Quant à cette série d'amendements sur le quotient familial, faites attention. J'ai fait quelques simulations avec LexImpact pour évaluer leurs effets – cela fera plaisir à notre collègue Jean-Noël Barrot. Seules les familles avec trois enfants et un revenu mensuel d'au moins 7 000 euros bénéficieraient du dispositif, qui ne concernerait donc que les catégories plutôt aisées de la population. Ce n'est pas la priorité, durant cette crise. »
-
4
amendements
citent "LexImpact"*Ce groupe d'amendements peut contenir des doublons.
**En 2022, nous nous interrogeons sur la pertinence de cet indicateur car contrairement aux débuts du projet, la cellule ne demande plus aux utilisateurs de citer l'outil.
Une augmentation du périmètre de la loi chiffrable
par
LexImpact :
Nombre de dispositifs chiffrables
sur des cas types
:
1 en 2019,
4 en 2020,
30 en 2021,
65 en 2022.
Nombre de dispositifs chiffrables
sur le budget de l'État ou de la Sécurité sociale
:
1 en 2019,
4 en 2020,
5 en 2021 et en 2022.
En 2019, LexImpact propose un premier
simulateur spécifique à l'impôt sur le revenu.
En 2020, un autre simulateur voit le jour, il est dédié au calcul de
certaines des dotations aux communes, la dotation forfaitaire, la
dotation de solidarité rural et la dotation de solidarité urbaine.
En 2021, le service LexImpact élargit le périmètre des lois chiffrables sur des cas types en créant un simulateur dédié aux cotisations et prestations sociales. Le périmètre s'est également étendu avec la possibilité pour les parlementaire d'estimer les effets d'une modification de la CSG prélevée sur les salaires sur le budget de la Sécurité sociale.
En 2022, le service LexImpact consolide le nouveau simulateur et ajoute certains dispositifs d'actualité comme les primes pouvoir d'achat et partage de la valeur, les taxes sur les carburants, l'exonération TO-DE des employeurs agricoles. Le périmètre est d'autant plus élargit que de nombreux dispositifs présents dans le moteur de calcul OpenFisca sont mis à jour par la cellule.